Alors que se termine l’année 2024, avec ses tempêtes météorologiques, politiques, guerrières, la valse des étoiles filantes n’en finit pas de tourner au dessus de nos têtes.
Une rapide rétrospective me ramenant quelques mois en arrière, lorsque, rêveur, hypnotisé par les pampilles d’un salon mondain de Navarre, le gaulois que je suis resté, regardait le plafond, imaginant qu’un jour, peut-être, le ciel finirait bien par lui tomber sur la tête.
Moralité : Les étoiles filantes, sont comme les gouvernants du monde, elles passent et repassent, sans jamais tomber …
Du ciel de Pampelune
Par une nuit étoilée
La seule comète
Qui risquait de tomber
Fut l’amas de pampilles
De ce grand lustre doré.

