Dans ce nouvel article je vais traiter un sujet particulier, celui du travail du bois et plus précisément celui du tournage sur bois, discipline que je pratique depuis quelques années déjà.
Dans la barre des menus de ce blog vous verrez donc apparaitre dans quelques jours, un nouvel onglet intitulé “Histoire de Bois”. C’est ici que je regrouperai mes futures chroniques sur le travail du bois.
Vaste sujet donc dans un monde si cruel ou la langue de bois est trop souvent devenue l’Esperanto Universel.
Pour replacer ce nouvel article dans le contexte du moment, je vous dois une petite explication.
L’Association Art’Ria d’Audierne, Collectif d’artistes locaux cérébralement très actifs, propose en cette fin d’année une exposition collective sur le thème “Un p’tit rouge”.
Chacun pouvant laisser vaquer son imaginaire dans le domaine de prédilection qui lui convient, peinture, sculpture, photo, poésie, installation etc …
En ce qui me concerne et pour illustrer ma pensée du moment, j’ai retrouvé dans les archives de ma turbulente et lointaine jeunesse : le « p’tit livre Rouge de Mao ».
Je l’ai donc mis sous cloche après avoir tourné l’embase dans un joli morceau d’If d’une forêt bretonne.
Et comme dans tout culte, dans toute église où l’on met les choses sacrées sous cloche, je n’ai pas pu résister à citer mon copain Jacques Prévert qui écrivait en 1966 :
« Dans chaque église, il y a toujours quelque chose qui cloche. »
Un peu de légèreté donc, dans un monde devenu si cruel .
Bon, dans quelques jours je vais voir, du côté du Taj Mahal, si la lumière est plus éclairante et à bientôt, pour une nouvelle chronique.