Un petit haïku en l’honneur de Yvonne et de René, retraités patrons-poètes inspirés, de ce beau bistrot qui, hélas, a fermé ses portes pour toujours et dont la devise, empruntée à Honoré de Balzac, rayonnait au dessus de leur comptoir.
Salut Ô Barr Avel,
Paradis des Crosses en l’air
Refuge des pêcheurs
“Le comptoir d’un café est le parlement du peuple”, écrivait Balzac.
Que tous nos politiques du moment, qui se préoccupent tant du bonheur du peuple,
soient aujourd’hui inspirés.
Le bistrot est mort ! vive le bistrot! (les vents m’ont dit que « le pilleur d’épaves »pourrait renaître des ses cendres …………..