Quand la mer se retire
Apparaît la montagne
L’esprit vagabonde
A trouver son chemin
De rochers en prairies
De névés en campagnes
Un rien suffit alors
Pour réchauffer son âme
Quand la mer se retire
Apparaît la montagne
L’esprit vagabonde
A trouver son chemin
De rochers en prairies
De névés en campagnes
Un rien suffit alors
Pour réchauffer son âme
La vie s’accroche toujours
Même aux parois les plus ingrates
La rendant encore plus belle.

Solitude,
Étrange chemin pour unique compagne
Parsemé d’ombres et de lumières
De silences, d’odeurs figées
D’images d’ailleurs, de rires d’enfants
Un oiseau migrateur passe dans le ciel
Le monde lui appartient
Son chemin est sans borne
Poussé par je ne sais quelles forces invisibles
Il scrute cette terre fertile
Où tant d’hommes se déchirent
Le silence de son vol apaise mes pensées
Dis Papy, c’est quoi un acide aminé ?